-39%
Le deal à ne pas rater :
Ordinateur portable ASUS Chromebook Vibe CX34 Flip
399 € 649 €
Voir le deal

Partagez
 

 Séjour au Metropolitan Police Service [Pv : Diederich]

Invité
Invité


2 février 2016  

Le Metropolitan Police Service était là, sous mes yeux, mais je restais sous cette pluie glacée que je ne sentais plus depuis des années sans trop savoir quoi faire. Telle une âme en perdition, je n’arrivais pas à me décider et préférais la compagnie des pavés martelés par les gouttes. Ainsi, sur ce fond de mélopée apaisante pour mon esprit en proie à d'innombrables questions, j’essayais de faire le tri afin de prendre une décision rapide.

Devais-je réellement pénétrer à l’intérieur d’un lieu regorgeant d’êtres “normaux” alors que tout me laissait croire que c’était une personne issue de mon monde qui m’avait contactée pour m'aiguiller sur celui que je cherchais ? Pouvais-je parler de disparition ? D’enquête ? De ce lien étroit qui nous unissait ? N’allais-je pas susciter la curiosité ? Ou même la suspicion ?  Qu’avais-je le droit de dire finalement pour ne pas éveiller les soupçons ?  

*Bordel Rose, mais entre là dedans t’as rien à perdre !

Claquant mes joues avec force comme pour me donner du courage, je finis par me diriger vers l’entrée, trempée comme une vieille serpillière. Envolées les angoisses combinées aux interrogations malsaines, je ne devais penser qu’à ma mission et à rien d’autre. Cela faisait bien trop longtemps que je suivais les indices semer par mon père vampire, le moment n’était pas à la dérobade.

Les cheveux ondulant légèrement, mon faciès blafard mis en valeur par des yeux au maquillage coulant, le corps secoué d’infimes tremblement dans le but de faire croire que j’avais froid,  je donnais franchement l’impression d’être au bord du suicide… Cependant, je décidai de ne pas m’arrêter aux premiers regards curieux et me dirigeai vers ce qui ressemblait à une sorte d’accueil en serrant mon sac à bandoulière contre ma hanche.  

Heu bonjour…Je… je viens vous voir pour savoir si en fait… vous auriez trouvé quelqu’un que je cherche… Et.. enfin, quelqu’un de disparu qui serait peut être ici… Et… j’viens de loin, tout ça…” m’embrouillai-je toute seule en jouant nerveusement avec mes doigts sur le comptoir.  

Consciente que je devais passer pour une demeurée sous cachet après cette demande formulée dans un dialecte qui s’était voulu clair et concis, je fermai les yeux, soupirai, puis me lançai de nouveau en étant beaucoup plus sérieuse.  

Ecoutez...je suis à la recherche d’un homme qui a disparu. Mes petites recherches se terminent dans cette ville. Est-ce vous pourriez m’aider à le retrouver ?”  

Cette fois ce fut plus direct, et les réponses qui suivirent… aussi. Pour sûr, on me donna de la paperasse, puis on m’invita à attendre sur l’une des chaises faussement confortable qui peuplaient un des couloirs.

Assise, toujours aussi trempée, j’hésitai alors à prendre la fuite à force d’attendre… Qu’est ce que je faisais là ? Prenant ma tête entre mes mains après avoir essorée mes cheveux de fausse albinos, je commençai sérieusement à regretter ma manoeuvre… On allait me poser des questions, et je ne m’étais pas préparée à fournir des réponses basées sur le mensonge. Novice dans ce domaine qui m’horripilait, j’avais l’impression de fondre sur place en m’imaginant en plein bafouillage face à l’autorité. Bon sang ! Mais pourquoi j’attendais toujours !

*Bon, stop, je m’en vais*

Après avoir jeté un petit regard droite, puis à gauche, je me levai puis marchai rapidement pour rejoindre la sortie. Toutefois, et bien trop mise à l’épreuve à cause du stress, je ne fis pas attention à mon champ de vision, et percutai alors une personne qui s’était mise sur mon chemin.  

Non. Le destin ne voulait pas me voir en dehors de ces murs.
De toute manière, il ne m’aimait pas vraiment celui là, alors pourquoi s’étonner ?




Mer 20 Juil - 22:16
• • • • • •
Diederich Von Schwarzwald
L'étrange sous la normalité : La Force est source de toute vie. Mais elle ne permet pas d'oublier.
Tell me More : Me more
PROFESSION : Inspecteur du Metropolitan Police Service
Crédits : Ewan McGregor
Messages : 244
Points : 3361
Diederich Von Schwarzwald
L’une des plus importantes différences entre la fiction et la réalité du travail de policier, c’était que, contrairement aux films, les enquêteurs n’avaient que rarement une seule affaire en cours. Ajoutez à cela un atroce sous-effectif, ainsi que des enquêtes d’importance en sus des communes, et vous obtenez le chaos et l’effervescence qui régnaient au Metropolitan Police Service, division de Last End. Oh, vu de l’extérieur, et jusqu’à l’accueil, tout paraissait normal, mais dès que l’on pénétrait dans les salles de service et les bureaux individuels, apparaissait la véritable ampleur du "désordre" : d’innombrables classeurs et dossiers trônaient sur des tables, le bourdonnement incessant des ordinateurs résonnait dans l’air, des tasses de café vides étaient abandonnées aux quatre coins aussi vite qu’elles étaient ramassées et nettoyées, … Leurs effectifs se reconstituaient lentement, trop lentement, mais après tout, les mages et sorciers n’étaient pas aussi nombreux que cela, au MET.

Dehors, une pluie de déluge battait les pavés. Rien que de très commun, ici, en Angleterre. Surtout en cette époque. Le Soleil se faisait rare, ajoutant à l’humeur morose qui régnait en ville. Des sourires forcés, des paroles banales, … Tout paraissait être fait de nuances de gris, comme dans un de ces vieux films. Les rues n’en étaient pas plus dangereuses qu’à l’accoutumée, mais elle paraissait plus sombres, plus inquiétantes, comme si tout ce que ce monde recelait de pire n’attendait que le temps maussade pour sortir et se répandre lentement, sournoisement, comme une chape de gaz, asphyxiant lentement quiconque se trouvait en elle.

Diederich remontait des archives, disposées au sous-sol, dans une pièce sécurisée contre les éléments et les intrusions, ainsi qu’à atmosphère contrôlée. Bien entendu, ces dispositifs ne valaient pas ceux du Vatican pour leur bibliothèque, mais ils étaient assez rares dans des locaux de la police pour être mentionnés. Les bras chargés et les yeux plongés dans la lecture d’un dossier, l’enquêteur naviguait au radar, slalomant dans les couloirs et entre les gens qui s’y trouvaient. En un autre temps, autre lieu, l’homme aurait été de ceux qui arpentaient les couloirs du Temple Jedi de Coruscant, préoccupé par la résurgence des Seigneurs Siths.

Soudain, alors qu’il traversait un couloir vers une autre cage d’escaliers permettant d’accéder aux bureaux proprement dits, l’Inspecteur fut bousculé. Brutalement arraché à sa lecture, il vacilla, ses classeurs lui échappant des mains, tandis que par réflexe il condensa l’air un très bref instant autour de lui, prêt à se défendre, avant de se rendre compte que l’origine de cette "attaque" n’était autre qu’une jeune femme tout aussi étonnée que lui par ce qui venait de se passer. Par Njörd, il était vraiment tendu comme la corde d’un arc, ces derniers temps.



« Toutes mes excuses, Mademoiselle, dit-il avec son fort accent Allemand, retrouvant ses bonnes manières.[/i) Je ne faisais guère attention, et je ne vous avais pas vu. Je ne vous ai pas fait mal ? »


L’enquêteur se pencha pour ramasser ses dossiers, tâchant d’ignorer le regard meurtrier de l’archiviste qui passait également par là et dont les lèvres brûlaient visiblement de ne pouvoir hurler au scandale ; puis, se redressant, ses habitudes prirent le dessus et il détailla son vis-à-vis de ses yeux gris et froids, la dominant du haut de son mètre quatre-vingt-six, conscient du regard inquisiteur qu’il posait sur elle, mais dont il avait du mal à se défaire, après plus de seize années passées dans la police. Son attention se porta surtout sur le formulaire qu’elle tenait à la main, provoquant en lui une pointe de pitié. Etait-ce un père, une mère, un époux ? Son destin avait-il complètement pris un tournant à cause de cet événement ? Pour lui, la disparition d’un être cher était parfois bien pire que sa mort, car, malgré nous, il subsistait toujours une lueur d’espoir, souvent perdue au milieu des ténèbres du doute et de l’angoisse. Ne pas savoir à quoi s’en tenir, cela devait vous pourfendre l’âme comme une dague. Cela, ainsi que son air de chaton mouillé et abandonné qui lui donnait ne apparence triste et vulnérable, le poussèrent à ne pas prendre congé.


« C’est une mauvaise période pour déposer une demande telle que la vôtre. En passant par la voie normale, elle ne sera pas considérée comme prioritaire, au vu des affaires qui nous occupent actuellement.
Toutefois, je pourrais peut-être faire quelque chose, si vous acceptez de m’en dire plus.
Prenant conscience qu’il était toujours un parfait inconnu pour elle, et que ce faisant, il ne risquait pas d’éveiller autre chose que de la méfiance, il se présenta : Je suis l’Inspecteur Diederich Von Schwarzwald, du Met de Last End. »

Sam 23 Juil - 16:09
• • • • • •
Invité
Invité
Légèrement sonnée par la collision, j’eus l’impression de voir des étoiles parsemer le plafond lugubre du couloir pendant quelques secondes. Tenant fermement ma paperasse d’une main, je portai alors l’autre sur ma tête comme pour essayer de retrouver mes esprits tout en marmonnant maladroitement un “ohpardonjesuisdésolée”. Coincée, gênée, et prise au piège dans ce bâtiment qui me faisait clairement penser à la maison des fous des douze travaux d'Astérix, je relevai la tête vers la personne que je venais de percuter en craignant le pire.

“Non ça va, ne vous inquiétez pas… Dé-désolée je…” commençai-je en écarquillant les yeux

En effet, face à la carrure de l’inconnu à l’accent allemand, je me sentis bien faible mais aussi, extrêmement mal à l’aise. Je l’avais percutée comme une voleuse, et voilà que c’était lui qui s’inquiétait alors qu’il était bien plus occupé que moi. D’ailleurs, que faisais-je encore ici à traîner dans les pattes de ceux qui s’affairaient tout autour de moi ?

Sans détacher mes yeux de ceux de l’inconnu, je restai silencieuse, incapable de dire à mot tant je sentais l’envie de disparaître comme par magie me ronger les entrailles… Mais la situation vira littéralement de bord, lorsque l’homme, dont les traits me rappelaient un acteur connu, décida de briser le silence qui avait commencé à s’installer maladroitement entre nous.

Posant alors un regard perdu sur ma paperasse en comprenant qu’il avait saisi la raison de ma présence sur son lieu de travail, je relevai la tête vers lui pour me présenter à mon tour, non sans cacher le léger malaise qui me rendait maladroite.

heu, je… c’est gentil… vraiment, merci Monsieur… Enfin Inspecteur Von Schwarzwald… Je suis Rose, Rose Anderson

Difficilement, mais sans fourcher sur le nom de famille aux sonorités qui m’étaient familières, j’avais incliné ma tête avec politesse tout en serrant les vieux papiers entre mes doigts blafards. Il me proposait son aide, tout simplement, si seulement je désirais en dire plus sur mes recherches… Mais que devais-je dire sans trop passer pour une folle échappée tout juste d’un asile ?

Peut être que je devrais revenir plus tard, enfin, quand ce sera plus calme…C’est… une histoire de famille compliquée vous savez…Et… Je vous jure que vous allez avoir l’impression d’être dans un film, ou une série…

J’en avais trop dit, et surtout, j’avais fini par me perdre dans des explications vaseuses. Fermant alors les yeux pour prendre une bonne bouffée d’air et évacuer cette honte qui me hérissait le poil, je décidai d’éclairer un peu plus l’Inspecteur en plein travail afin d’éviter la cellule de dégrisement. Ainsi, une fois calmée et beaucoup plus sérieuse, j’ouvrai les yeux et me lançai dans une tirade des plus étranges.

C’est mon père adoptif, je n’arrive plus à avoir de nouvelles de lui depuis quelques temps… J’ai fait mon enquête de mon côté et lors de cette enquête perso, j’ai reçu une lettre en partance de cette ville qui me disait d’y venir car il était peut être ici. je n'ai pas cherché à comprendre, et j'ai foncé...

Consciente que mes mots pouvaient être assimilés à de la folie pure, je me dépêchai de continuer en posant ma main libre sur mon front.

ça a l’air fou, je sais, c’est bizarre, et ça n’a pas de sens, mais je crois sincèrement que vous êtes mon seul espoir pour le retrouver...” lançai-je doucement non sans cacher un ton suppliant.

Qui pouvait me venir en aide à Last End ? Sincèrement, je ne voyais pas… Seule la Police me venait à l’esprit… Sauf si cette ville abritait d’autres personnes dans mon genre bien sûr… Auquel cas, cela changerait tout...

Mar 26 Juil - 22:15
• • • • • •
Diederich Von Schwarzwald
L'étrange sous la normalité : La Force est source de toute vie. Mais elle ne permet pas d'oublier.
Tell me More : Me more
PROFESSION : Inspecteur du Metropolitan Police Service
Crédits : Ewan McGregor
Messages : 244
Points : 3361
Diederich Von Schwarzwald
La demoiselle semblait perdue, embrouillée. Et pourtant, elle ne cillait pas, ni ne détournait le regard. Une certaine force de caractère devait résider en elle, telle la flamme chancelante d’une chandelle, essayant de résister aux souffles assassins du vent. Ces yeux verts brillaient de détermination, de la détermination de retrouver la personne chère à son cœur.  Et pourtant, elle semblait hésiter. Elle se dirigeait vers la sortie au moment où elle l’avait percuté, sans avoir remis son formulaire pourtant rempli. Qu’est-ce qui la retenait ?

Inclinant également la tête lorsqu’elle se présenta, Diederich autorisa son esprit à vagabonder quelques instants, ce nom devenu moins courant lui rappelant celui de la jeune femme dans Titanic, dont son interlocutrice partageait la couleur des yeux. Juste après cela, elle sembla encore vouloir prendre la fuite, tentant de se dérober. Profitant qu’elle se tût pour inspirer longuement, l’enquêteur prit la parole. Un film ou une série ? Par Njörd, si elle savait que cette ville était digne des ouvrages des plus grands écrivains fantastiques…



« N’ayez crainte, Miss Anderson. Notre travail n’est pas de juger, mais bien de protéger et servir. Et puis, rassurez-vous, si vous saviez tous ce que nous entendions… ajouta-t-il dans une tentative de faire un peu d’humour. »


Lorsque la jeune femme reprit la parole, Diederich put mesurer à quel point la personne disparue était importante pour elle. Abandonner son travail, sa vie, pour suivre une piste qui pouvait être aussi tangible que de la fumée n’était pas rien. L’Allemand ne le lui souhaitait pas le moins du monde, mais il était toujours possible que la lettre du mystérieux expéditeur ne soit rien d’autre qu’une blague de très mauvais goût. Cela n’aurait pas été la première fois. Mais si elle venait de quelqu’un de bien intentionné, et n’ayant pas commis d’erreur, alors ce pourrait être un très bon moyen de commencer les recherches. Ce serait quitte ou double, comme bien souvent dans ce métier.


« Missa accepté cette mission, avec maximax d’humilité. Sachant qu’une réplique aussi peu sérieuse avait de quoi surprendre, Diederich adressa un clin d’œil qui se voulait rassurant à la demoiselle, afin qu’elle ne sombre pas dans le désespoir. Je vais prendre en charge votre dossier, Miss Anderson ; mais j’aurais besoin de plus amples informations pour cela. Si vous voulez bien me suivre dans mon bureau ? Ce sera plus adapté que ce couloir pour ouvrir une affaire. »


Passant devant elle pour la guider, Diederich emprunta la cage d’escaliers jusqu’au deuxième étage, où ils débouchèrent dans un grand espace ouvert peuplé de bureaux, certains entourés de bas murs de contreplaqué, d’autres non. Sur deux côtés de la pièce, des portes s’alignaient, accompagnés de fenêtres, le tout donnant sur des bureaux individuels. L’enquêteur se dirigea vers le sien, où son nom était indiqué par une plaque en laiton fixée sur le battant. Ouvrant ce dernier, il s’effaça en invitant la demoiselle à entrer.

Un désordre organisé régnait à l’intérieur. La petite fenêtre était entourée de deux grandes armoires à dossier, et de bas meubles de rangement se trouvaient juste en-dessous. Des stores se trouvaient sur les fenêtres intérieure et extérieure. Sur le bureau se trouvait un ordinateur, ainsi que divers ouvrages de droit et d’enquête criminels, le tout noyé sous les dossiers en cours. Derrière le siège de l’enquêteur se trouvait encore un haut et large placard métallique empli à craquer, dont les portes se refermaient mal. Dans un coin trônait une cafetière sur un meuble étroit. Enfin, sur le mur lui faisant face, libre de tout rangement, s’étalait un grand panneau de bois tendre où étaient punaisées des photographies, des notes, des plans, concernant ses enquêtes en cours. Un charme magique agissait dessus, pour que tout ne ressemble qu’à des affaires « normales », non liées au Monde de l’Envers, par précaution. Faisant signe à la jeune femme de s’installer sur l’une des deux chaises devant le bureau, Diederich se dirigea vers la cafetière, et en servit une grande tasse qu’il déposa devant Rose, ainsi qu’une boîte à sucre en fer-blanc.



« Buvez, cela vous réchauffera avant que vous ne vous enrhumiez. »


S’asseyant dans son fauteuil, Diederich fit un peu de place devant lui et regarda son interlocutrice. Elle semblait fermement persuadée que son père adoptif était en vie. Or, l’expérience lui avait appris que de nombreuses disparitions se révélaient en fait être des meurtres dont la victime n’avait pas encore été découverte. D’où la recherche dans les morgues municipales. Mais comment le lui annoncer sans lui saper le moral ?


« La procédure veut que nous examinions tous les registres d’entrée des crématoriums et autres morgues, au cas où. Ce n’est qu’une procédure standard, rassurez-vous, s’empressa-t-il d’ajouter. Mais je doute que cela donne quelque chose. Aussi, dans le même temps, il nous faudra examiner la lettre qui vous a été envoyée. Peut-être l’expéditeur a-t-il laissé des indices sur son identité, ce qui nous donnerait un bon point d’appui pour démarrer l’enquête. Appuyant son dos au dossier du fauteuil, l’Inspecteur plongea son regard dans celui de Rose. Maintenant, que pouvez-vous me dire sur le disparu, sur ses habitudes d’avant sa disparition ? Avait-il des dettes, quelque chose qui aurait pu le pousser à fuir ? »

Dim 31 Juil - 12:56
• • • • • •
Contenu sponsorisé

• • • • • •
 
Séjour au Metropolitan Police Service [Pv : Diederich]
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» A votre service | Pryam
» La ronde des âmes | Diederich
» [SORCIER] Diederich Von Schwarzwald
» Comte Diederich Von Schwarzwald - Journal de bord

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Weird Tales ::  :: Refuges aux pensées :: Archives de RP :: Janvier - Mars 2016-