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 Un fils, un objet, un jouet... un fugueur...

Invité
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Un fils, un objet, un jouet... un fugueur...
Il nous faut obéir à nos parents : un père a sur nos vœux une entière puissance. -Molière



♜ NOM : Di Trevi
♜ PRÉNOM : Noah
♜ NOM ETERNEL : Demande à Papa si tu l’oses…
♜ RACE : Démon
♜ ÂGE : Réel : inconnu
Apparent : 12
♜ DATE DE NAISSANCE : Sur le papier c’est écrit 3 avril 2003
♜ PROFESSION : Collégien
♜ PAYS D'ORIGINE : Angleterre
♜ SITUATION FAMILIALE : Compliquée…
♜ TRAITS DE CARACTÈRE : Sadique, manipulateur, curieux, ambitieux, calculateur, lunatique, éloquent... et pyromane !!
♜ OPINION SUR LE SECRET : Neutre, ne se sent pas concerné par cette histoire.
♜ CRÉDITS : incolor.club




♜ LIVE : La vie est une chose incertaine. C’est ce que tout le monde pouvait parier. Le début de l’histoire, de mon histoire... Tout débuta dans une forêt, parce que c’était encore l’époque où les arbres fleurissaient le monde sans être entourés d’un épais gravât. C’était aussi encore une époque où on croyait en les arts, en les mythes, en la magie. Pour ma part, j’étais un enfant assez parfait : gentil, agréable. Mes parents ne pouvaient que m’aimer et ils m’adoraient : j’étais le symbole de leur gloire, de leur fortune. Mais je m’ennuyais et la patience n’est pas une de mes qualités. Par chance : je n’eus pas à m’ennuyer longtemps… Mais pour comprendre cette allusion, il fallait aller bien plus loin à la fois dans ma vie, et bien plus loin dans mon passé quand je ne pouvais encore rien y faire. Pourtant, les images me vinrent dans les tortures, brisant ce qui restait de mon âme et y volant le peu d’innocence y restant, me faisant oublier ce qu’était l’amour et la croyance, effaçant mes liens, les piliers qui me soutenaient de la démence.

Dans ces images, on voyait un homme et une femme. Sans nul doute, ils s’aimaient vu que l’homme demanda la belle en mariage. Les parents refusèrent de confier la femme à un homme aussi pauvre qu’eux : ils espéraient que la beauté de leur fille leur offrirait quelque gloire en vendant sa vertu à un nobliau des environs. L’enfant ne voulait point abandonner son corps à quiconque n’aurait pas son cœur et se décida à ne plus être pucelle dans un coin d’une étable. Revenue souillée, les parents la châtièrent et lui promirent une vie de nonne. Elle fut ainsi envoyée au couvent. Mais l’homme ayant connu sa chaleur et lui ayant volé son innocence se refusait à la laisser partir : il se parjura devant dieu en se rendant sur le lieu de son adoration et en dérobant la demoiselle à ses épousailles avec l’Eternel.

Mais voilà que l’amour ne permettait point de vivre et les deux aimés appelèrent de leurs vœux un être maculé. Ils avaient déjà renié le divin, ils pouvaient se lier au malsain. Mais leurs âmes n’intéressaient pas l’être arrivant qui leur demanda un enfant qui mourrait bien vite à peine âgé de sa dixième année. Ils donnèrent l’âme de leur fils unique qui, en juste vengeance, déchira le ventre de sa mère lors de sa naissance afin de lui ôter la joie de gagner un second enfant qu’ils pourraient élever. A peine l’enfant fut-il qu’on vint les chercher : le monde semblait s’offrir à eux et ils devinrent les parents de l’enfant. Ceux de son souvenir : des êtres heureux, aimants, joyeux. Ils acceptèrent d’exaucer le moindre de ses caprices, ils glorifiaient le moindre de ses exploits. Ils pleuraient le moindre de ses échecs. Ils étaient tout pour l’enfant : ceux qui lui permettraient d’être.


Ce fut ainsi que je vécus ma première vie… Car je pourrai m’en prétendre trois. La première fut humaine, pleine de joie et de désillusions… Car j’appartenais à une créature horrible dans la suivante… Un seul être aurait pu venir chercher une âme dans le domaine de Dieu : Lucifer, le prince des enfers, se gaussa d’avoir volé un être innocent dans le domaine des anges. On aurait pu croire qu’il était le début de la souffrance : loin de là… Avant, il y avait les chiens.

Je me souvenais des chiens, et principalement d’un chien : celui qui m’ôta la vie, me volant mon âme pour la lui apporter comme un simple os. Mes parents ne m’avaient pas organisé un anniversaire comme j’en avais l’habitude : ils m’amenèrent dans une pièce sombre sans oser croiser mon regard, étant vague sur ce que j’allais obtenir comme cadeaux. Je ne comprenais pas ce qui allait advenir : je croyais encore à une surprise : la joie était sur mon visage quand la porte s’ouvrit. On aurait pu croire à un courant d’air… Mes parents ne les virent pas… Mais ils étaient là. Leurs yeux ne montraient aucune émotion, ils étaient clairement implacables… les chiens… Et ils se jetèrent sur moi. Point de façon douce, point de mort rapide : des éclats de sangs, des déchirures de la peau, avant qu’IL m’attrape au cou. Là encore, de la lenteur dans les actes, dans les renversements incessants de mon corps, dans les griffures : je sentais les crocs s’enfoncer doucement dans ma peau tandis que s’écoulaient le liquide chaud de ma vie. J’entendais encore le glouglou de mon sang sortant de ma gorge quand je vis la dernière fois ma mère. Je tendais la main vers elle, tentant de parler et émettant, de ma gorge déchirée, un abominable couinement, grinçant… Chacune de mes respirations vibrait, chacune émettait le sifflement de l’air sortant de mon cou lacéré… Une mère se serait inquiétée pour son enfant, n’aurait-elle pas couru en voyant des larmes sortir de ses yeux se vidant de leur vie ? N’aurait-elle pas du l’approcher et pleurer ? Non, ma mère, elle, sortit de la pièce comme une femme libérée d’un fardeau. Ce fut là que je compris que personne ne me sauverait des chiens.

Je fus ainsi amené auprès de Lucifer. Il semblait content de me voir : il avait attendu dix ans son dû. Je ne m’étais pas même vendu à lui, j’étais comme un dessert pour un gourmand, une sauce pour un gourmet, une souris pour un chat, un jouet dans le fond. Il me montra les souvenirs de mes parents de ses dons, entrant dans mon esprit et corrompant la moindre de mes pensées… Puis, il devint mon père d’adoption et en cela, peut être beaucoup m’envieraient. Je ne m’étendrais pas en description de ma transformation en démon… Je dirai simplement que l’avantage d’être un enfant est que nous sommes une surface malléable. Nous ne sommes pas neutre, nous sommes manichéens : bien ou mauvais. Nos âmes sont pures et il fut donc aisé de la rendre impure… Enfin « aisé » est le terme que mon père d’adoption utilisa. Pour ma part, j’aurais dit : douloureux, empreint de torture, avec une légère impression que ceci ne se finirait jamais.

Pourtant, tout se finissait un jour : l’âme disparaissait d’une façon ou d’une autre. Et moi, je devins un démon. Ma libération fut le début de ma nouvelle vie, celle où l’odeur du sang remplace celle des fleurs, où les jeux amènent à la mort d’un être et à sa souffrance, et non pas à ses rires. Lucifer me présentait comme son enfant de filiation et les autres démons me regardaient avec envie. Je les ignorais et cela plaisait au prince suprême pour une raison inconnue : si j’avais appris quelque chose de ma première vie, c’était que les parents n’étaient pas une bonne chose. C’était là des traitres contre lesquels on ne pouvait rien, des adultes animés par l’égoïsme. Lucifer ne m’aimait pas, j’en étais persuadé. Il agissait comme tel pour me protéger, mais dans un but très certainement. Les démons aimaient à se créer des manigances et surement voyait-il un intérêt en moi ? Mais dans le fond, peut-être était-il capable d’une sorte d’affection, car j’en avais une pour Cerbère. Mais ce n’était pas une affection humaine et je pense même qu’aucun être ne pouvait comprendre ce lien. L’affection pour un démon était le même sentiment que l’attirance de l’humain pour le vide d’une falaise. Ses mots doux l’étaient autant aux oreilles que les rochers prêts à accueillir le futur mort étaient pointus. Souvent, il se tournait vers moi et je sentais en son regard affectif celui d’un vautour observant un cadavre abandonné au sol. Il parlait longuement, et j’écoutais. Parfois, nous communiquions vraiment et il m’apprenait des choses sur les êtres animant le monde. Mais dès qu’il partait, je restais globalement seul. Je lui appartenais encore, en quelque sorte, malgré mon élévation à un statut de démon. Tous le savaient : je resterai sien pour l’éternité… Pour le meilleur et pour le pire. Il était le père de mes jours et de mes nuits, pour toute ma vie, dans tout le coté malsain que notre lien pouvait avoir… et être sa possession était dur à supporter. Les cris des damnés étaient nos mélodies, nos odes chantées. Je pouvais rester des heures à les écouter comme on se complaît à vivre un opéra. Ils me permettaient de m’évader de la prison dorée où je demeurais.

J’appelais Lucifer de maintes façons tant c’était une relation assez étrange puisque j’étais à la fois son fils et son "objet". Parfois Papa… Père parfois… Lucifer quand il me traitait en adulte… Lucy quand j’étais fâche… Cela le contrariait alors et plusieurs fois, il me tortura pour me faire me souvenir de la douleur, de tant et tant de façons différentes. La douleur de l’esprit, la douleur du corps, la douleur de la vie. Car j’avais une existence, fut elle pourrie par la cruauté et le mal. Mais il y avait aussi de belles choses… Il y avait cerbère. C’était là le chien qui m’avait ôté la vie et cela nous faisait un lien particulier. Dans le fond, si je pouvais encore ressentir quelque chose d’humain, cela aurait été pour Cerbère, mon chien des enfers. Son amour de mon sang originel le fit se rapprocher de moi et Lucifer me laissa l’approcher, le connaitre, le contrôler. Je lui parlais comme un humain à son animal de compagnie. Lucifer me l’offrit même et j’y vis le plus beau des cadeaux. Mais cela ne me retira point mes deux buts : arrêter de m’ennuyer et fuguer. Les deux allaient de pairs. Vivants, je n’avais pu avoir le plaisir de découvrir la vie si bien que je me décidais à m’échapper de sa surveillance en emportant Cerbère.

Je le transformais en chien visible à la vue de mes jeunes pouvoirs. Sous sa forme visible, Cerbère ressemblait à un chien fort laid, particulièrement imposant… Une sorte de loup d’une grande laideur qui aurait pu rappeler l’image d’un chien de l’enfer, sa vraie nature. Quant à moi, je possédais un enfant. J’étais mort enfant et si j’avais longuement vécu, je me sentais de reprendre la vie là où elle m’avait abandonnée. De plus, les foyers faisaient confiance aux jeunes enfants : on tentait de les aider, on croyait en eux. Et la surprise d’un regard comprenant que la lame dans son ventre était magnifique. J’ai aussi gouté à l’alimentation… à toute alimentation possible… Je voyageais avec Cerbère et il était le compagnon le plus joyeux de mes infortunes. J’appris un jour à mes dépends que mon père décidait me récupérer et pour cela, il payait. Les démons également me recherchaient et je me doutais que nos ennemis me tueraient bien juste pour contrecarrer Lucifer. Quoi qu’il en était : je me devais de ne pas me faire attraper… Ce qui fut le cas.

J’avais longuement cheminé en changeant de corps très régulièrement pour éviter d’être repéré, pactisant ci et là et ne me cachant que moyennement : ma voix envoutante me permettait d’obtenir ce que je voulais. On pouvait suivre mes traces aux cadavres abandonnés, aux demeures brulées, aux craintes nouvelles et aux esprits affaiblis après mon passage ; mes traces de pas rougissant la neige des évènements. Et je ne comprenais pas que ceux-ci furent si aisés à suivre. L’image d’un adolescent –car j’avais changé de corps- accompagné d’un chien terrifiant. Un chasseur vint aisément jusqu’à moi et se décida à me ramener auprès de mon père. Je me doutais que les retrouvailles seraient douloureuses : je n’étais un enfant que dans ce monde, point dans l’autre. Et Lucifer me le ferait payer avec imagination, souillant ce qui pouvait me rester de vrai et détruisant ce qu’il n’aimait pas chez moi pour me reconstruire, à nouveau, tel qu’il me désirait.

Un évènement vint à contrarier le chasseur et à m’offrir l’occasion de m’enfuir : le chasseur se faisait attaquer par un individu. Je découvrais, les yeux enfin libérés, que j’avais été amené à Last End, une ville que j’avais évité tant elle était guidée par les puissances magiques. Cerbère et moi nous enfuyions alors et entrions dans la première maison donnée. C’est alors que j’ai croisé mon corps actuel. Il m’apparut parfait. Dans la précipitation, je ne prévoyais pas de plan parfait : je tuais les membres de sa famille, volait son corps et laissait tout dans les flammes afin de cacher mes quelques traces. J’en profitais pour changer l’apparence de Cerbère : s’il restait particulièrement laid, je lui donnais une race qui n’amenait pas de méfiance… celle d’un chihuahua.

Je déambulais dans la rue et croisais alors une femme… Celle-ci me demanda d’où je venais, et je lui prétextais être un orphelin, pleurant de n’avoir plus personne pour s’occuper de moi. Naturellement, elle me proposa de m’adopter et j’acceptais : une idée venait de germer dans mon esprit malade. Lucifer ne s’attendrait pas à ce que je reste à Last End, on attendait de moi de la fuir comme je l’avais toujours fait. Si je restais en ces lieux, évitant de trop attirer l’attention sur moi directement, on irait me chercher ailleurs et ma trace serait perdue. Ces lieux me seraient dangereux, mais j’apparaissais comme un enfant normal. Ma voix et la volonté de ma mère m’aida à me faire créer des papiers officiels… L’histoire de ma pauvre famille assassinée aida peut être : ma mère était au courant et promis de n’en parler à personne tant cela semblait me terroriser qu’on vienne me tuer à mon tour. Dans le fond, ce n’était pas anormal pour elle de me croire : j’avais pu voir le visage de l’assassin. Après tout, elle m’avait retrouvé maculé par du sang, pleurant la disparition de ma famille !  Mes nouveaux papiers furent faits –peut être aussi un peu de façon illégale- et on me fit entrer au collège et ce pour la première fois de ma vie. On expliqua à mes nouveaux camarades mon comportement un peu trop mature par l’orphelinat. Les enfants rapidement me prirent d’affection : ce n’était point dur d’en devenir un chef...

Leur esprit croyait encore en tant de choses que la logique adulte leur faisait alors oublier. Ma voix les envoûtait et pour les résistants, leurs camarades faisaient le reste. J’étais bon élève et ma mère adoptive me gâtait. Je voyais en elle une femme en mal d’amour et je comptais bien la laisser dans cet état : c’était lui qui lui provoquait ce déni à mon égard. Car elle devait bien voir que mes yeux étaient cruels quand ils croisaient son regard. Ou confondait-elle cela avec l’amour ? C’était fort possible. Quoi qu’il en soit, je lui désirai la solitude.

Mais voilà, les temps changeaient : le sang avait parcouru les rues à nouveau. Assis sur le bord de la tablée du salon, je regardais le vent frapper les arbres. Cette histoire de boucher pouvait ramener les instances démoniaques dans les environs et cela ne me plaisais pas… Pourtant, je me souvenais des rues rougies avec nostalgie. Une petite partie de moi regrettait les opéras des damnés. C’est avec cette pensée que je vis être déposé devant moi une soupe au potiron, offerte par la voix chantante de ma mère d’adoption. J’échangeais un regard avec Cerbère qui semblait me dire que je l’avais voulu, et soupirais avant d’enfiler le masque de l’enfant parfait pour diner avec elle.

Spoiler:


♜ JOUEUR : Alors... J'ai de nombreux noms. Parmi ceux ci on trouve Samaël, Noah, Necha, Isiliel... Mais Ici ce sera Noah. J'ai bientot 26 ans et je me suis mis au rp il y a une dizaine d'année ! Je suis patissière donc j'ai des horaires compliqués mais si je suis là c'est pas corruption de la mama !


♜ JE RECONNAIS AVOIR PRIS CONNAISSANCE DU RÈGLEMENT ET M'ENGAGE A LE RESPECTER : Noah Di Trevi




Mer 2 Mar - 10:53
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Invité
Invité
Officiellement bienvenue petit démon \o/

Mer 2 Mar - 12:53
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Morghann Earl
L'étrange sous la normalité : Enfant cadet du Patriarche Earl, il est un héritage refusé, s'extrayant de la nécrose gangrénée de sa famille.
Tell me More : Jumeau d'Howard - Fils de Pryam
PROFESSION : Médecin Légiste
Crédits : Gustavo Krier
Messages : 1331
Points : 3842
Morghann Earl
Bienvenue Choupidémon ♥️ On s'occupe de toi ^^

Mer 2 Mar - 13:31
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Invité
Invité
Nechaaaaa ♥ Bienvenue ♥ On t'aime ♥

Mer 2 Mar - 21:25
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L'Oracle
L'étrange sous la normalité :
Je suis le Maître de ces lieux, le conteur de vos histoires, l'oracle de vos avenirs. J'écris sur les pages blanches de demain vos déboires, vos exploits.

Tell me More : Je tiens les ficelles de vos existences.
PROFESSION : Assistant
Crédits : By Meri
Messages : 808
Points : 3770
L'Oracle
Admin

Bienvenue Noah !


J'ai le plaisir de t'annoncer que tu es validé


Ton personnage est vraiment intéressant, et tu as une écriture sympathique à lire, que du bonheur donc ^^ Sacré personnage, dérangeant et attendrissant tout à la fois. Nous avons vraiment très hâte de lire ses aventures et voir les mauvais coups qu'il va concocter ** Tu es désormais libre de te joindre aux rps dans lesquels nous espérons que tu t'amuseras !

A très vite petit bout howardXmorghann



Jeu 3 Mar - 19:23
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