Le Deal du moment : -39%
Ordinateur portable ASUS Chromebook Vibe CX34 Flip
Voir le deal
399 €

Partagez
 

 Last End, la ville du secret

L'Oracle
L'étrange sous la normalité :
Je suis le Maître de ces lieux, le conteur de vos histoires, l'oracle de vos avenirs. J'écris sur les pages blanches de demain vos déboires, vos exploits.

Tell me More : Je tiens les ficelles de vos existences.
PROFESSION : Assistant
Crédits : By Meri
Messages : 808
Points : 3759
L'Oracle
Admin

La ville du Secret



La ville de Last End se situe en Cornouailles, lieu de vieille magie et de traditions renouant avec la modernité. Il s’agit d’une ville de taille honorable, développée, qui profite de son ouverture maritime sur le monde extérieur pour se donner un second souffle et saisir ses opportunités. Elle ressemble, en cela, à de nombreuses autres villes de Grande Bretagne. Ce qui la différencie, c’est l’ampleur de son ‘monde de l’envers’, cette vie dissimulée aux yeux des humains lambda, et qui abrite les créatures surnaturelles depuis des siècles. Un monde à l’échelle planétaire, mais qui trouve son cœur à Last End, véritable noyau d’énergie et de décisions. C’est là, dans les rues pavées et le vent marin, que les habitants de l’envers ont logé leurs représentants, ont rassemblé leurs plus prestigieuses institutions. Ce qui signifie en outre que c’est également là que se trouve le cœur du monde de l’envers et à ce titre, là que peuvent survenir les plus importantes fuites. Marché des trolls, autels des dieux païens et des sorciers, porte de l’enfer fermée, point d’impact des anges tombés, porte vers le pays des fées, les menaces au secret sont aussi nombreuses que les habitudes et le confort de toutes les races surnaturelles forcées de cohabiter. Ici plus encore qu’ailleurs, les contes et les légendes pullulent… et peuvent devenir réalités, peut-être plus encore que les humains n’osent l’imaginer. Ils sont rares, ces innocents mortels tombant dans le secret, mais ils existent, tout comme il existe certains habitants de l’envers prônant le bris de ce long silence qui entoure la magie et ses affidés. C’est l’opposition de ces nombreuses forces qui a fait naître la situation actuelle, et qui pourrait bien, dans un futur proche, l’aggraver…



Mar 13 Oct - 22:23
• • • https://weirdtales.forumactif.org • • • •
L'Oracle
L'étrange sous la normalité :
Je suis le Maître de ces lieux, le conteur de vos histoires, l'oracle de vos avenirs. J'écris sur les pages blanches de demain vos déboires, vos exploits.

Tell me More : Je tiens les ficelles de vos existences.
PROFESSION : Assistant
Crédits : By Meri
Messages : 808
Points : 3759
L'Oracle
Admin

Description



Le Quartier Historique : Le vieux quartier de Last End, accolé à la falaise. Son charme moyenâgeux a été conservé avec un soin presque maniaque, et lorsque l’on se promène dans ses rues blanches, on peut être saisi d’une sensation venue d’un autre temps. Les rues sont étroites, pour la plupart, et ombrées, et les places, grandes ou petites, illuminées comme des puits de soleil. Près de la falaise battue par les vents se situe une promenade prisée par les nantis autant que les touristes.  

La Grand Place : Au centre du quartier historique, cette place pavée et restaurée, large, voit se faire face les bâtiments les plus anciens de tout Last End. Les façades sont de pierres et de bois, typiques de l’époque médiévale, tandis qu’en son centre, siège une fontaine. Haut lieu du secret, c’est dans ce cénacle pittoresque que se retrouvent les grandes institutions du monde de la magie. C’est également ici que se réunissent les grands noms du secret, sous le couvert des arbres taillés avec méticulosité.

Le Château des Earl : Demeure de la première des familles fondatrices de la ville, le château des Earl est un bâtiment haut et puissant, doté de trois vastes étages et d’un grenier, ainsi que de salles dissimulées tant dans les sous-sols que dans les murs. Datant de l’âge médiéval, le château peut accueillir l’intégralité de la grande famille de ses propriétaires, ainsi qu’un nombre conséquent d’invités. Il dispose, entre autre, de passages secrets et de bien d’autres commodités, à l’image d’un grand parc et d’un cimetière privé. Les hautes fenêtres observent, silencieuses, glacées, semblant faire planer, à certaines heures, une aura d’anormalité.

Le Manoir des Whiteman : Construit par le Maître Whiteman de l’époque revenu au pays, le grand manoir possède un style colonial typique. Il ne dispose que d’un rez-de-chaussée et d’un étage, mais reste vaste et lumineux, en contraste avec les dons de ses propriétaires. Il a été construit un peu à l’écart dans le quartier, ce qui lui donne une tranquillité et un air d’isolation appréciés de certains.

Le Fort de Sihvonen : Sombre forteresse de pierre construite sur le bord de la falaise, à l’extrémité du quartier historique, la demeure de l’antique famille effectue la démarcation entre terre et eau. Avec ses puissantes tours, ses hautes fenêtres et ses meurtrières, le fort semble lancer un défi tant à l’océan qu’aux habitants, en gardien vigilant. Disposant de quatre étages, seuls les membres de la famille semblent savoir ce qu’il renferme.

Le Quartier Marchand : Mitoyen du quartier historique, le quartier marchand est un monument à la fracture vécue à Last End. Les rues descendant du quartier historique sont encore étroites et serpentent. Les devantures des boutiques sont d’époque, comme un voyage dans les siècles précédents. Plus bas, les rues s’élargissent, respirent davantage, jusqu’à advenir près du nouveau centre de la ville, et son grand centre commercial.

Le Centre Commercial : Tout en modernité, en flagrant contraste avec le quartier historique pourtant mitoyen… et avec le reste de son entourage. De verre et de métal, luisant dans le soleil, il renferme tant des boutiques qu’une grande surface, le tout agrémenté de carrés de verdure sous un dôme de verre reconnu comme une prouesse architecturale.

Les librairies : Modernes ou antiques, elles renferment des ouvrages divers et variés, de sorte que n’importe quel promeneur y trouve un livre susceptible de l’attirer. Cependant, certaines librairies, sous des dehors anodins, renferment des connaissances touchant au secret, alors bien gardées.

Le Quartier des Plaisirs : Prolongement Est du quartier marchand, s’étendant vers les Landes, l’antre des plaisirs est un quartier disparate, rénové en partie grâce à un plan d’assainissement qui n’a pas abouti. De vieilles bâtisses s’accolent à des immeubles datant des dix dernières années. Il est pourtant très peuplé et souvent visité. De jour comme de nuit, on peut y trouver une population dense… et le danger des coupe-gorges.

L’Opéra : Somptueux monument datant de la grande époque, à l’architecture majestueuse. Une volée de marches conduit à la grande porte de bois, le grand hall de marbre accueille les visiteurs, richement orné de parures, tapis et tableaux, et sculptures gracieuses. Les salles de spectacles qu’il abrite sont vastes, pour la plupart, seules des troupes connues et appréciées peuvent s’y produire. De plus petites salles sont quant à elles destinées aux troupes plus modestes. Le bâtiment se décompose en un rez-de-chaussée, deux étages accessibles aux invités, un étage réservé au personnel, et un sous-sol.

Le Complexe  Sportif : D’apparence bien entretenu, le complexe sportif est d’une forme ovale, celle d’un stade, et s’étend sur trois étages. Piscine, salle de fitness et musculation, courts, pistes, stage et patinoire : tout est savamment imbriqué. Des couleurs vives parent les murs, dit-on que c’est pour stimuler l’effort. En ce lieu se croisent bien de fins amateurs jusqu’aux professionnels dont la rivalité met la place sous tension par moment. Ces êtres au corps sain peuvent se retrouver dans la cafétéria : il est dit que la serveuse est une sorcière tant elle fait tourner les têtes. A l’extérieur, on trouve un parc, bien sûr entretenu par la famille Sihvonen, ainsi qu’un stade en plein air.

La Sirène : Le plus célèbre club de gentlemen de Last End. Tradition anglaise, les femmes n’ont pas le droit d’entrer, c’est un sanctuaire réservé à la gente masculine, qui s’y adonne à différentes activités, de la boisson aux spectacles, en passant par les jeux, rencontres commerciales ou simplement de courtoisie. Le bâtiment se situe à la limite entre le quartier des plaisirs et le vieux quartier, dans un bâtiment d’époque typique qui a gardé tout son cachet. Les tentures de velours fermées dissimulent au regard extérieur les différentes salles confortables, du bar à la salle de jeu. Bois laqué, et velours, les tenues formelles et distinguées sont exigées.

Les pubs : Ils sont nombreux, les bars et pubs, où l’on peut boire à son aise, partager une conversation animée et baigner dans les derniers ragots. Attention tout de même, certains sont parfois mal famés… ou entièrement réservés aux habitants du secret.

Les Maisons Closes : Les autels de la luxure. On y vend les corps des femmes et des hommes qui, échoués là, vivent dans un confort relatif, même pour les plus aisés. Dépendant d’une clientèle soutenue, ou peinant à rassembler de quoi survivre, les catins des maisons closes restent néanmoins entre les murs de leurs ‘sanctuaires’. Ce sont en général des bâtiments aux devantures classiques et innocentes, dissimulant les vices.

Le Quartier d’Affaires : Hauts immeubles, charmantes tours de verre au nord de Last End : le labeur a son décor et ses lourdes habitudes. Il s’éveille de bonne heure, se couche tôt et vers vingt heures déjà, le silence y est total comme si le bruit de la journée y avait été englouti par une bête venue de l’ailleurs. Pavés sombres, mine grise : on y travaille ou on complote. La justice et le sang sont un quotidien que la méfiance a rendu vital. La Loi de Dieu n’a plus de raison d’être lorsque les agneaux s’égarent et errent : ils sont des proies dans la fosse du Malin et toutes les créatures étranges les dévorent parfois même de l’intérieur. Les visages humains sont les masques de cet autre monde, celui que le Seigneur a abandonné.

L’Hôtel de ville : Maîtres de la ville, dominance totale sur chacun de ses citoyens : une campagne habile semblant venir d’ailleurs. Le bâtiment a les atours d’une façade claire, l’Union Jack confère des couleurs à cette peau pâle sortie tout droit de l’architecture antique. Des tableaux immenses sont accrochés aux murs, nombreux de reproduction, car d’originaux il faudrait en prétendre la sécurité à laquelle la Ville n’a guère le coeur de songer. Ils veillent à l’ordre et la régularité : certaines famille sont surveillées, trop étranges, trop paranormales. Ici logent aussi les forces de l’Ordre et un détachement de Scotland Yard après l’affaire du Réanimateur. Une ambiance tendue y règne et chacun semble être épié dans ses moindres faits et gestes.

L’hôpital : Ils hurlent, mendiants de l’attention, soins aux plus urgents et souffrances, bien que moindres et silencieuses, pour les autres. Au sang qui s’écoule on pallie promptement, aux horreurs moribondes on prône le calme et quelques aveuglements. Les pas se font lents ou précipités, dans une chambre résonne le son électronique et régulier d’une femme dans un coma qui a bien trop duré. La salle d’attente s’emplit de chuchotements, quelques plaintes des impatients, soupirs des officiants, lorsqu’à un quotidien vital, ils oeuvrent sans égal pour trop peu de remerciements. Les bâtiments s’élèvent, nombreux, les services se côtoient, se complètent. Les murs sont blancs, le sol est bleu, le sang est pourpre.

Le Tribunal : Le marteau s’élève, sentence brutale pour un parricide sans remords. Qu’on lui refuse la liberté va de soi et derrière les barreaux il croupira. Un ‘digne mérite’ écriront les journaux dont aucun des mots ne pourra sécher les larmes de cette veuve à l’enfant trop ingrat. Le parquet ciré grince sous les pas du légiste au discours macabre, ses yeux se lèvent vers les juges et des alliés fort nombreux. Les tentures aux murs évoquent une justice qui, ici, doit se prononcer aveugle. Les grandes fenêtres laissent entrer la lumière du Seigneur, brûlante sur la peau des pêcheurs, les rongeant de remords. Les hautes colonnes entourent la porte d’entrée, majestueuse, imposante et écrasante, tel un jugement implacable.

Les Bureaux : Tours de verre et d’acier aux enseignes concurrentes : ce sont là de beaux donjons de l’ère contemporaine. Elles entourent une place immense au dallage bleu sombre où le passage est intense, les pas pressés de nombreux retardataires, les sourires absents sur ces visages par centaines qui, au travail, se rendent. Une fontaine et quelques bancs accueillent les désireux d’un pause ensoleillée avec un sandwich ou un café. Quelques terrasses ont poussé, à l’abri d’une baie vitrée pour les jours pluvieux et nuageux, où les souvenirs s’égrainent au rythme du labeur. Patrons indulgents ou bien trop stricts, bureaux spacieux ou miteux : tout dépend de la richesse de l’entreprise et du soin accordé aux employés.

Le Port : Divisé en deux, le long des falaises, le Port est l’ouverture vers la mer, bras tendus vers les racines marines des habitants. Le vent iodé le balaye, le soleil le brûle, et dans ses eaux sommeillent un passé insoupçonné. Les promenades sont nombreuses, autant que les aménagements effectués pour permettre aux visiteurs de profiter de ce lieu et de son attrait.

Les Quais : Ils grouillent d’activité en matinée, pour se vider en soirée. Les voix hurlent, se répondent, les odeurs se mélangent. Les quais industriels sont réservés au personnel, tandis que les quais de plaisance sont là pour attirer les promeneurs, badauds cherchant un bol d’air frais et par l’image de l’eau et du large se trouvant happés. Ces quais de plaisance sont bien entretenus, pavés et agrémentés avec goût, des navires privés, à voile le plus souvent, mouillent contre les pontons de bois.

Les Entrepôts : Nœuds importants de l’économie de la ville, ils sont privés, appartenant pour la majorité à des entreprises, qui y stockent leurs marchandises. Pourtant, certains habitants du secret font de cette zone dangereuse leur terrain de jeu. Il s’agit de bâtiments modernes, avec des parkings accolés, des camions et des engins de manutention allant et venant en journée.

Les Restaurants : Ils sont très nombreux, agglutinés dans cette partie de la ville, tant pour la vue sur les quais et ses navires que pour la proximité quasi directe avec des produits frais issus de la mer. Tout un chacun cultive ses spécialités, ses aliments favoris, son ambiance tantôt ouverte et chaleureuse, tantôt confinée et mystérieuse. Les plus riches restaurateurs bénéficient d’une vue superbe, parfois quelques couverts en argent, des étoiles les gradant, des mets délicieux dont leur chef prodigieux en garde la recette sous secret. De plus petits prodiges de la gastronomie se cachent dans les ruelles. Leurs enseignes ne paient pas de mine mais un bon habitué saura s’y retrouver pour ravir ses papilles. Loin de l'exhibition des quais, on y trouve ici calme et paix, et surtout, bien plus d’intimité.

Les Alentours : Campagne à demi sauvage semblant encercler la ville à sa falaise accrochée. Vierge de vie ou acceptant simplement la symbiose des deux mondes, la nature continue son chemin, témoin privilégiée de bien des faits, détentrice du secret depuis son éveil antique. Des choses rampent dans la pénombre des forêts, le vent chante dans les Landes, poussant les coeurs à l’écoute vers le reste du globe.

Les Falaises : Elles bordent la côte Ouest de la ville, là où les vagues proviennent du grand océan bleu et s’écrasent férocement sur les roches crayeuses. Le grognement des vagues retourne le coeur et lui inspire mille et un sentiments. Un sentier de promenade est tracé au sommet mais peu l’empruntent car il serait maudit. Un fantôme pousserait les hommes dans le vide, laissant des veuves à leur chagrin. En cinq ans, on y dénombre près d’une dizaine de suicides ou de disparus sans laisser de traces. Lorsque la marée est basse, on découvre une plage de sable et une grotte. Last End y compte une poignée de noyés restés trop longuement à leur exploration et piégés par la marée montante.

Les Landes : Bien à l’Est de Last End, au delà des pavillons résidentiels s’étend une forêt épaisse aux nombreux sentiers battus. A pied, à vélo et à cheval, on les emprunte bercé par le chant des oiseaux et du vent dans le feuillage. A l’automne, le sol craque sous les pas et le vent hurle entre les branches comme une femme à l’agonie. Les soirs de pleine lune, on y entend le hurlement des loups et les grognements d’une bête que la faim rend folle. Un immense lac borde le nord de ces bois avant de s’ouvrir sur une vaste prairie verdoyante. Certains herboristes y font cueillette au milieu des chevaux sauvages. Au sud de la forêt gisent des marais salés. Le sol y est instable et il n’est pas très recommandé de s’y aventurer.

Le Reste du Monde : De Londres à l’autre bout de la planète : croyez vous que Last End soit le seul endroit au double visage ? Ils sont ici et là, le monde n’a pour eux aucune frontière. Si Last End est le doux foyer, le reste de ces terres sont de sublimes paysages pour bien des aventuriers. Certains en rêvent, parfois, lorsqu’il s’agit de dominer. Ce Monde leur appartient, entre les Cieux du Seigneur et le Brasier de l’Enfer, c’est une guerre sans fin, un combat éternel.



Dim 18 Oct - 22:31
• • • https://weirdtales.forumactif.org • • • •
L'Oracle
L'étrange sous la normalité :
Je suis le Maître de ces lieux, le conteur de vos histoires, l'oracle de vos avenirs. J'écris sur les pages blanches de demain vos déboires, vos exploits.

Tell me More : Je tiens les ficelles de vos existences.
PROFESSION : Assistant
Crédits : By Meri
Messages : 808
Points : 3759
L'Oracle
Admin

Carte de la Ville




[Cliquez pour agrandir]

@ Medusah



Mar 6 Sep - 14:56
• • • https://weirdtales.forumactif.org • • • •
Contenu sponsorisé

• • • • • •
 
Last End, la ville du secret
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Marbrume, la ville des damnés

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Weird Tales ::  :: Le vrai visage :: Secrets révélés :: La vie courante-