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 [SORCIER] Diederich Von Schwarzwald

Diederich Von Schwarzwald
L'étrange sous la normalité : La Force est source de toute vie. Mais elle ne permet pas d'oublier.
Tell me More : Me more
PROFESSION : Inspecteur du Metropolitan Police Service
Crédits : Ewan McGregor
Messages : 244
Points : 3321
Diederich Von Schwarzwald
Comte Diederich Von Schwarzwald
La peur est le chemin vers le Côté Obscur : la peur mène à la colère, la colère mène à la haine, la haine… Mène à la souffrance.



♜ NOM : Von Schwarzwald
♜ PRÉNOM : Diederich
♜ NOM ETERNEL : /
♜ RACE : Sorcier, adorateur de Njörd, Dieu des Océans et des Vents
♜ ÂGE : 39 ans
♜ DATE DE NAISSANCE : 11 Novembre 1976
♜ PROFESSION : Inspecteur du Metropolitan Police Service - Cellule de Last End
♜ PAYS D'ORIGINE : Royaume-Uni, Angleterre, Last End
♜ SITUATION FAMILIALE : Veuf, sans enfant.
♜ TRAITS DE CARACTÈRE : Mélancolique - Fier - Consciencieux - Appliqué - Attentif - Gourmand - Se prend pour un Jedi - Excentrique
♜ OPINION SUR LE SECRET : Pro-Secret
♜ CRÉDITS : Ewan McGregor




♜ LIVE : Caractère

Diederich a beau appartenir au folklore fantastique humain, il n’en est pas moins féru de récits et de films imaginaires. Ainsi, il se prend pour un Jedi, depuis le jour où il a pour la première fois vu ces films marquants de la science-fiction. Cela ne s’est pas arrangé lorsqu’il s’est rendu compte de sa ressemblance physique avec l’un des acteurs. Son plus grand rêve est d’acquérir un sabre-laser, même si son métier actuel ne lui laisse que peu d’occasions d’y songer. Excentrique, oui, il l’est. Toutefois, depuis un an, depuis la mort de sa compagne, plus exactement, cela s’est empiré. Inconsciemment, Diederich cherche à se protéger en se réfugiant dans cet imaginaire. En effet, il estime être responsable de la mort de l’enquêtrice, n’ayant pu la sauver à temps, et surtout, n’ayant pu la convaincre de ne pas être l’appât de leur piège funeste. Et s’il fait tout pour n’y point penser le jour, la nuit, ce fantôme du passé revient le hanter. Si son plus grand rêve est d’acquérir, comme dit plus tôt, cet objet symbolique de la science-fiction, son plus cher désir, celui pour lequel il se damnerait, serait de remonter le temps et d’empêcher la mort de Fanny. Ainsi, tourné vers le passé, il vit dans le regret et les remords, et ne doit qu’à sa sœur Swanahilda de ne pas avoir sombré dans une dépression dans les premières semaines où il était de retour à Last End. Même maintenant, elle continue d’être pour lui un soutien important, un refuge de douceur féminine.
Diederich est le genre de personne sur qui l’on peut compter. Fidèle et loyal, il n’est pas tourné vers la trahison ou l’abandon d’autrui ou d’une cause. Il est toutefois implacable dans sa poursuite des criminels. Il méprise la justice Britannique, qu’il considère trop faible. En ce sens, il lui est plusieurs fois arrivé d’agir en justicier, la dernière fois étant cette fameuse nuit de Janvier 2011.
Il est également extrêmement fier, sans être hautain, de ses origines familiales. Appartenir à l’une des plus puissantes et anciennes familles d’Allemagne, malgré leur fuite au Royaume-Uni après la chute du IIIème Reich, le remplit d’orgueil. Maîtrisant l’Anglais et l’Allemand, il cultive très soigneusement son accent Germain, y voyant un moyen de conserver l’identité familiale, malgré leur statut de "vassal" des Earl.




Physique

L’on dit des Allemands qu’ils sont grands, blonds et aux yeux bleus. De tout cela, Diederich n’a que la stature haute et imposante. Mesurant 1,86 mètres, il possède d’épais cheveux bruns, tandis que ses yeux, sous un front que l’on pourrait qualifier de haut lui aussi, sont d’un gris teinté de bleu, rappelant les tempêtes océaniques. Son regard est froid, même lorsqu’il lui arrive de ressentir de la joie. Il sourit avec les lèvres, mais pas avec les yeux. Son visage, lui, est marqué, ridé tandis que des cernes soulignent ses yeux. Sa barbe, brune également, loin d’adoucir ses traits, contribue encore à le vieillir, accompagnant en ce sens les longues nuits passées à se remémorer l’Avant, sans arriver à dormir, et les réveils tout aussi difficiles, conséquences des verres avalés dans une veine tentative de repousser les tourments de la perte de sa femme.




Gustav Mahler – Piano Quartet en La Mineur


La lignée des Comtes Von Schwarzwald est très ancienne. Ses racines remontent au-delà des périodes les plus obscures du Moyen-Âge, lorsque l’Empire Romain perdit ses possessions sous les assauts des tribus Germaniques. Ils ne prirent toutefois le nom de Schwarzwald que lors de leur établissement dans la région de la Forêt Noire. Cette famille prit de l’importance sous le Saint Empire Romain Germanique, puis à nouveau sous le IIème Reich, après s’être lentement remise sous la Confédération Germanique des séquelles de l’invasion Française. De nombreux membres de leur Maison occupaient des postes importants au sein de ces gouvernements. Jamais au premier plan, mais toujours à l’arrière, tirant des ficelles tant pour assouvir leur soif de pouvoir que pour protéger leur qualité de mages.

Adorateurs de divinités Germano-Scandinaves, les Von Schwarzwald firent également montre de dévotion envers la religion Catholique, afin d’échapper d’abord à l’Inquisition, puis plus tard, afin de préserver leur statut de nobles Allemands. Mais c’est sous le IIIème Reich que la fortune bascula pour cette illustre famille. Soutien des premières heures à l’homme qui allait relever une Allemagne exsangue et humiliée par le Diktat de Versailles et l’incompétence de la République de Weimar, les Von Schwarzwald, fidèles à leurs habitudes, devinrent des membres éminents de l’armée et du gouvernement. L’envers du décor ne leur était pas inconnu, mais ils considéraient cela comme des dommages collatéraux nécessaires à l’établissement d’une société stable afin d’éviter de futures guerres propres à faire mourir encore plus des leurs, comme cela avait été le cas en luttant contre les armées Napoléoniennes qui avaient failli les exterminer. Néanmoins, en vertu du lien qui unissait chaque être appartenant aux mondes magiques, ils firent partie de ceux qui permirent à Last End de ne pas souffrir du Blitz. Les membres de leur famille appartenant aux hautes sphères des armées Allemandes présentèrent de nombreuses fois Last End comme une ville sans intérêt stratégique, et dont la destruction ne minerait pas le moral Britannique. Les quelques ordres de mission ne pouvant toutefois pas être annulés pour diverses raisons (nombre insuffisant d’avions et/ou de bombes disponibles, avis de tempête, … ) voyaient les coordonnées de la ville falsifiées, conduisant la Luftwaffe à bombarder un autre lieu. Trahison, dîtes-vous ? Certes, mais hormis ces actions réalisées en vue de protéger une cause bien plus importante, les Von Schwarzwald comptaient parmi les partisans les plus fervents du régime du IIIème Reich.

Hélas pour eux, la Seconde Guerre Mondiale vit une nouvelle fois leur pays chuter sur le chemin les conduisant à un glorieux avenir de paix. Mais la descente aux Enfers ne s’arrêta pas là. N’eût été la volonté du Führer de détruire les races dites inférieures, le IIIème Reich aurait pu survivre sous une autre forme, panser ses blessures en attendant le moment propice pour revenir sur le devant de la scène, comme le peuple Allemand l’avait déjà fait. Mais le monde les jugea. Nuremberg. Les Von Schwarzwald n’avaient eu aucune participation active dans ces crimes contre l’humanité, mais la connaissance qu’ils en avaient aurait suffi à les faire condamner si les enquêteurs remontaient jusqu’à eux. Cela était inacceptable. Leur noble famille presque millénaire ne pouvait disparaître ainsi. Leberecht Von Schwarzwald, le Patriarche de cette époque, fit alors appel aux Earl, dont l’importance et l’influence au Royaume-Uni étaient comparables à la leur en Allemagne. Ceux-ci acceptèrent de faciliter leur immigration et leur installation à Last End, choses rendues difficiles au sortir de la Seconde Guerre Mondiale pour les Allemands, a fortiori aussi impliqués qu’eux dans les organismes du IIIème Reich. Ils auraient pu partir en Amérique du Sud, certes, mais Last End était… Last End. Seulement, cette aide eut un prix. Non pas en or, mais pour survivre, les Von Schwarzwald sacrifièrent une part de leur orgueil en s’agenouillant devant les Earl et en leur jurant loyauté et fidélité. Ainsi échappèrent-ils aux hordes de charognards qui s’étaient rués sur les ruines de la Sainte Allemagne de nouveau vaincue.

Leurs terres et leurs propriétés furent ensorcelées afin que seuls des Héritiers de Sang puissent y pénétrer, et ils quittèrent le continent avec leur or, leur fortune, et ceux qu’ils purent emporter, pour s’installer dans un ancien manoir, ayant appartenu à une famille disparue, aux abords de Last End. Les années passèrent, et tout inféodés aux Earl qu’ils étaient, ces derniers leur laissèrent avec le temps une certaine indépendance, du moment qu’ils n’entraient pas en conflit contre eux et leurs objectifs.

********

Diederich Von Schwarzwald naquit en Novembre 1976, d’Helmfried et de Kriemhild, née Von Flüstern, une famille au Pur Sang elle aussi. Il est l’aîné de trois enfants, devant ses sœurs Brunhilde et Swanahilda. Adorateur de Njörd, Dieu Nordique des Océans et des Vents, Diederich est donc mage des eaux et de l’air, en plus d’être télékinésiste comme tous les sorciers, à son plus grand plaisir. En effet, Diederich a une certaine excentricité, qui lui est venue en regardant très tôt la saga "Star Wars", et il est aujourd’hui persuadé d’être un Jedi d’un genre particulier. A la sortie de la Prélogie, il éprouva une immense satisfaction en s’apercevant de sa ressemblance physique avec l’un des acteurs principaux, et adapta son allure sur la sienne. Son seul regret était de ne pas avoir de sabre laser. Mais il était déjà mage, alors que de nombreux humains en ce monde ne pouvaient que rêver de faire bouger des objets sans les toucher.

Peu intéressé par la politique, au contraire de certains membres de sa famille, Diederich s’orienta très tôt vers une carrière policière. Ayant intégré le Met, auquel de nombreux êtres surnaturels appartenaient, dans le secret le plus complet, il débuta sa carrière à Londres à 23 ans, à peine sortie de l’école de formation. Très vite, les affaires s’enchaînèrent, bien plus qu’il ne l’aurait cru. Son supérieur était également un mage, ainsi que plusieurs de ses collègues ; les enquêtes de nature surnaturelle leur échoyaient donc. Et celles-ci ne manquaient pas. Entre les êtres qui bafouaient le secret et ne se cachaient pas, et les créatures qui rôdaient dans la ville, s’attaquant aux simples humains… La plupart de ces enquêtes demeuraient néanmoins relativement aisées à résoudre… Enfin, aussi aisées qu’il était possible lorsque l’on avait affaire à un monde non-cartésien. D’autres étaient plus ardues. Mais aucune ne fut du niveau de l’Affaire L3658-19. Six mois durant, Diederich et deux autres enquêteurs, Avery et Fanny, sa femme depuis sept ans, tous deux sorciers, allèrent de corps en corps. D’après les marques sur le cou, et le fait que les morts soient quasiment vidés de leur sang, ils avaient affaire à un Vampire passablement violent. Mais prudent, très prudent. Aucun indice n’était laissé. L’âge des victimes était passablement similaire, entre 20 et 30 ans, mais l’autre point commun qui les reliait était qu’elles étaient systématiquement violées, sans doute par ce même Vampire.

Ce fût dans les dernières semaines qu’ils eurent enfin un début de piste, plus par chance qu’autre chose. L’une des victimes avait sur elle l’addition d’un lieu où elle s’était rendue le soir de sa mort. Jusqu’à présent, aucun document de ce genre n’avait pu être retrouvé. L’identité même des cadavres leur restait inconnue, sinon au terme d’un parcours du combattant pour les légistes et les enquêteurs. Alors, était-ce une ruse du criminel pour brouiller les pistes ? Cela était bien sûr possible, mais dans la mesure où ils n’avaient aucun renseignement sur lui, il n’avait pas la moindre raison de se sentir menacé. Non, les trois enquêteurs penchaient davantage pour le fait que, de plus en plus en confiance, leur Vampire avait commis une erreur d’inattention. A eux de tout faire pour que celle-ci soit sa dernière.

La note était celle d’un club de célibataires, situé entre le centre-ville et les proches banlieues. Aussitôt, ils s’y rendirent afin de mener leur enquête discrètement, privilégiant le plein jour. Seul Diederich pénétra dans le lieu, afin d’éviter autant que possible d’éveiller l’attention. Et une fois encore, la chance leur sourit. Car d’autres victimes, bien que pas toutes, avaient été durant une période des habituées de cet endroit, habitude qui s’était brusquement arrêtée depuis plusieurs semaines. Dont la dernière à avoir été retrouvée morte. Le responsable de la salle, physionomiste, se rappelait que celle-ci, une jeune femme rousse, avait passé la soirée avec un homme d’âge moyen, brun et très pâle. Il leur confirma que celui-ci était également un client régulier.

Ils tenaient leur chance. Les trois enquêteurs décidèrent de tendre un piège, dont Fanny, qui correspondait aux critères du Vampire, serait l’appât. Dans le pire des cas, il s’agirait d’une coïncidence, et ils n’auraient qu’à reprendre du début. Mais dans le meilleur des cas…

********

Fichue pluie. Fichue météo Britannique. Jurant silencieusement en Allemand, Diederich se concentra sur l’entrée du club, dans lequel était entrée depuis deux heures leur coéquipière. Avery, à sa gauche dans la voiture, tenait sur une oreille un écouteur, relié par ondes au micro que portait, caché dans une doublure de sa veste, l’Inspectrice. Il entendait depuis une vingtaine de minutes qu’elle parlait avec un homme. Dans la voiture, les deux hommes espéraient que ce fût le bon.



« Ils sortent, signala Avery. »


Effectivement, quelques instants plus tard, Fanny sortit, accompagné par… Oui, l’homme était pâle, avait-il pu voir lorsqu’il était passé sous la lumière éclatante d’un réverbère ! Fanny fit tomber son sac, signal convenu à l’avance si elle pensait que cet homme était le bon. Quelques instants plus tard, ils montèrent dans une voiture et démarrèrent. Les deux enquêteurs firent de même et entamèrent une filature à distance. Une seule voiture, et de nuit, cela allait être difficile de ne pas se faire repérer. Mais après tout, leur cible devait être en confiance, et n’avait sans doute jamais reçu de leçons sur la contre-filature, comme les officiers du MI5 et du MI6.

Ils roulèrent pendant une quinzaine de minutes et sortirent de la ville. En approchant d’un embranchement, le véhicule devant eux tourna à droite tandis que… Miséricorde, un contrôle routier. Leur cible était passée tranquillement, mais eux se firent arrêter. Pestant contre ce coup du sort, Diederich baissa sa vitre et mit sa plaque sous le nez du policier qui s’était approché.



« Vous interférez avec une enquête officielle, Sergent ! Alors faîtes-moi le plaisir de dégager de là ! »


Sans attendre sa réponse, Diederich passa la première et démarra sur les chapeaux de roue. Ils n’avaient pas perdu tant de temps que cela, mais… La route était pleine de bifurcations, et ils avaient perdu de vue la voiture de l’homme. Tant bien que mal, Avery essayait de les guider par rapport à la qualité du signal. Mais alors qu’ils approchaient d’une grande bâtisse isolée, son coéquipier retira vivement de ses oreilles l’écouteur. Ayant monté le son au maximum, un cri tellement fort qu’il résonna dans l’habitacle de la voiture retentit dans la voiture se fit entendre. Maudite flicaille de la route. Priant Njörd pour qu’ils n’arrivent pas trop tard, Diederich freina dans un crissement de pneus devant la bâtisse, ayant vu la voiture suivie dans la cour. Les deux enquêteurs sortirent en courant et escaladèrent le portail de fer forgé. La porte d’entrée était fermée, mais en augmentant la pression de l’air d’un côté, l’Inspecteur parvint à la faire s’ouvrir en fracas, envoyant voler les battants dans le vaste hall d’entrée. De la lumière provenait du premier étage, et les deux policiers s’y ruèrent. Dans une chambre, un cadavre. Fanny. Tuée et violée, comme toutes les autres. Glacé d’effroi, Diederich sentit la colère bouillonner en lui, et lorsqu’il entendit un bruit de cavalcade, il se rua dans les escaliers, qu’une forme sombre descendait en courant. Saisissant son arme de service par pur réflexe, ne songeant nullement à l’arrêter avec sa magie, il visa et tira, ajustant la trajectoire de la balle en la manipulant avec la télékinésie, afin qu’elle aille se loger dans le genou de l’homme, le faisant exploser dans une gerbe de sang et d’éclats d’os. Le Vampire tomba et atterrit sur le sol au terme de sa chute.

Souffrir. Il allait faire souffrir et tuer cette immonde créature lubrique et perverse. La tuer comme elle avait tué leur coéquipière. Se ruant sur le Vampire, Diederich le frappa au visage avec la crosse de son arme, une fois, deux fois, trois fois, tant de fois qu’il en perdit le compte. Puis il jeta le pistolet, et saisit le crâne ensanglanté du Vampire. Et le détruisit lentement de l’intérieur. L’air qui pénétrait nécessairement en lui, même si non-vital, fut ainsi manipulé de la même manière que lorsqu’il avait fait sauter la porte. Le violeur hurlait de douleur, de plus en plus fort au fur et à mesure que la pression augmentait au sein de son corps. Diederich faisait parfois retomber cette pression, lui offrant quelques instants de repos, avant de la faire augmenter d’un coup brusque de nouveau. Diederich riait, riait tel un fou tandis qu’il tuait à petits feux cet immonde être. Qu’il souffre, qu’il souffre autant que Fanny et ses autres victimes. Il entendait derrière lui Avery lui crier d’arrêter, mais le Panthéon Scandinave lui-même n’aurait pu le forcer à s’arrêter. Enfin, dans un dernier hurlement de terreur, le Vampire mourut, le corps déformé atrocement.

********

Cela faisait quatre petites années que Diederich était revenu à Last End, muté une semaine après les funérailles de Fanny, blâmé et rétrogradé au rang d’Inspecteur suite à son comportement lors de "l’interpellation" du criminel. Il y avait une cellule de la Metropolitan Police Service, au vu de la concentration d’êtres surnaturels en ces lieux. Et du conflit qui couvait pour le maintien du Secret.



♜ JOUEUR : Bonjour tout le monde :D Je suis un ancien du monde du rp, et cela fait cinq ans que je connais certains de membres de ce forum, tels que How et Eli, et plus récemment pour d'autres (Morg, par exemple). Et c'est How qui a follement insisté pour m'attirer ici X) Bien lui a pris, car je peux jouer Obi-W... Un monsieur qui se prend pour un Jedi zyeuxdoux J'ai hâte de croiser la plume-laser avec vous, en tout cas :D


♜ JE RECONNAIS AVOIR PRIS CONNAISSANCE DU RÈGLEMENT ET M'ENGAGE A LE RESPECTER : Comte Diederich Von Schwarzwald




Dim 17 Jan - 15:59
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Howard Earl
L'étrange sous la normalité :
Je suis l'héritier de la branche principale des Earl, je suis un Nécromant et un membre du secret. Je le protège et le soutient. C'est dans mon intérêt.

Tell me More : J'ai un jumeau, Morghann, et je suis le pupille d'Eurynome
PROFESSION : Neurologue
Crédits : Meridya
Messages : 1442
Points : 3985
Howard Earl
Le Sacrifié
Quelle fiche grandiose XD tu arrives toujours autant à faire sérieux et nawak en même temps, je suis ravie de ma lecture !
Officiellement bienvenue à toi mon petit chou ! coeur

Dim 17 Jan - 16:25
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Diederich Von Schwarzwald
L'étrange sous la normalité : La Force est source de toute vie. Mais elle ne permet pas d'oublier.
Tell me More : Me more
PROFESSION : Inspecteur du Metropolitan Police Service
Crédits : Ewan McGregor
Messages : 244
Points : 3321
Diederich Von Schwarzwald
Mdrr merci beaucoup :) Mais mince, moi qui voulais faire du sérieux sérieux... Razz
Bon, maintenant que j'y suis, j'ai hâte de m'y mettre :D

Dim 17 Jan - 18:05
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Morghann Earl
L'étrange sous la normalité : Enfant cadet du Patriarche Earl, il est un héritage refusé, s'extrayant de la nécrose gangrénée de sa famille.
Tell me More : Jumeau d'Howard - Fils de Pryam
PROFESSION : Médecin Légiste
Crédits : Gustavo Krier
Messages : 1331
Points : 3800
Morghann Earl
Bienvenue parmi nous ♥ Quelle fiche **

Lun 18 Jan - 8:34
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Diederich Von Schwarzwald
L'étrange sous la normalité : La Force est source de toute vie. Mais elle ne permet pas d'oublier.
Tell me More : Me more
PROFESSION : Inspecteur du Metropolitan Police Service
Crédits : Ewan McGregor
Messages : 244
Points : 3321
Diederich Von Schwarzwald
Merci jeune Morg :3 Cthulhu (Je n'ai pas trouvé de smiley câlin, alors dis-toi que c'est un tentacâlin >.>) Mais vous me gênez tous les deux, à complimenter ma fiche XD

Lun 18 Jan - 12:00
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L'Oracle
L'étrange sous la normalité :
Je suis le Maître de ces lieux, le conteur de vos histoires, l'oracle de vos avenirs. J'écris sur les pages blanches de demain vos déboires, vos exploits.

Tell me More : Je tiens les ficelles de vos existences.
PROFESSION : Assistant
Crédits : By Meri
Messages : 808
Points : 3728
L'Oracle
Admin

Bienvenue Diederich !


J'ai le plaisir de t'annoncer que tu es validé

Nous avons beaucoup aimé ta présentation, très riche, très construite, très fluide !
J'ai hâte de voir ce jedi inspecteur à l’œuvre à Last End... Et tu ne sera pas de trop, eu égard du récent massacre de l'évasion du Réanimateur !

Félicitations !
Tu peux entamer tes RP : que la force soit avec toi  Jedi  

(PS : Je suis ton père)
Blood




Lun 18 Jan - 19:52
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